Charlotte Ayrault
Designeuse Plasticienne
PROJET REFLUX : L’intention
Sur la route, le design s’intensifie tout en s’estompant. Car le design se vit et s’habite. Car sur les routes, le design m’est devenu un métier de vivre en habitant ce monde différemment. Le design, c’est dessiner pour un dessein en devenir, au regard de l’instabilité dans laquelle on évolue. Faire du design, c’est donc faire politique en tant qu’actes. Mais faire du design, ce devrait être pensé avec tout le monde et faire disparaître le designer. Ce dernier ne devrait être qu’un regard qui agit dans l’ombre. C’est ce que je tente de mettre en pratique durant mon itinérance.
design de terrain, les journaux
EN TERRITOIRES URBAINS DE BRETAGNE
Lors d’allers-retours en territoires urbains, voici le récit de recherches sur le nomadisme et le mouvement, en habitant la ville autrement.
PAR-DELÀ LES SENTIERS FINISTERIENS
Ce numéro raconte les routes et les sentiers. À pied ou motorisée, c’est le récit des déplacements et des processus entre chaque immoblité.
ATELIER XYZ
Un lieu collectif au sein d’une propriété privée : s’ancrer en étant de passage. Ce numéro conte l’habiter par intermittence.
CORPS ET FERME D’UN TEMPS
Ce journal donne à voir les temps d’escale dans un corps de ferme liant questions paysannes et savoir-faire d’antan.
TERRITOIRE BLANC DE ROCHES ET DE VENTS
Celui-ci met en récit un collectif qui ne s’est pas choisi et ce qu’est faire société dans la précarité. Puis, le squat : lutter et s’opposer par l’habiter.
COMMUNAUTE EMMAUS
Puis, il y à la communauté Emmaüs où mon passge fut plus rapide. S’initier à un tout autre format d’immersion, où la précarité change de ton.
Memoire d’etude
Traversées d’immobilités, cueillette à propos du nomadisme.
Marche d’une lune, écrits itinérants.
Marche d’une lune, écrits itinérants.